black flat screen computer monitor on brown wooden desk

Credits image : Linus Mimietz / Unsplash

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OLED qu’on s’aime : Alienware fait tourner les têtes… et les pixels !

« On n’a pas deux fois l’occasion de faire une bonne première impression, sauf si on relance son PC… et son écran ! » – Proverbe de gamer moderne (moi, tout à l’heure devant ce test). Si l’année dernière, l’OLED s’est invitée sur les bureaux des joueurs exigeants comme un gâteau d’anniversaire dans une salle de régime, la vraie fête aurait commencé aujourd’hui. La star ? L’écran Alienware AW2725Q, qui propose aux gamers un cocktail explosif : 4K, 240 Hz, OLED et un prix qui… n’explose pas tout.

Flashback rapide : dans le passé, les écrans OLED, c’était plutôt pour régaler les pupilles sur console ou télé haut de gamme. Mais ceux pour PC, comme le LG 27GR95QE, même si ça faisait rêver en jeu, c’était nettement moins fun à la pause Excel : texte flou, reflets gênants et scintillements façon sapin de Noël sous G-SYNC. Bref, à ce tarif, on voulait du rêve et pas seulement un sapin de Noël !

Et là, Alienware débarque, pose la concurrence, et calme tout le monde avec un écran 27 pouces 4K qui ne ruine pas votre portefeuille ET qui soigne (presque) tous les défauts des précédentes petites bêtes OLED. La dalle signée Samsung affiche une définition jamais vue sur cette taille, et propose surtout une clarté de texte enfin au niveau : plus besoin de plisser les yeux en changeant d’onglet entre une bataille spatiale et votre budget courses.

Un écran OLED qui tient enfin ses promesses sur tous les fronts, ça sent la révolution… ou l’invasion Alien !

Côté design, on a laissé tomber les néons bling-bling pour un sobre « Interstellar Indigo » : c’est élégant sans faire OVNI sur le bureau, avec juste ce qu’il faut de logo Alienware rétroéclairé (personnalisable, genre sapin de Noël mature). Les ports ? HDMI à gogo (même eARC pour la barre de son), USB-C (seulement 15 W, mais, soyons francs, qui recharge vraiment son PC de gaming sur écran ?), et la connectique attendue. Pas de DisplayPort 2.1, il faut se contenter du 1.4, mais le DSC s’occupe de compresser sans que personne ne voie vraiment la différence, sauf si vous jouez à repérer les pixels à la loupe.

Le vrai festival, c’est l’image : 99 % DCI-P3, HDR qui claque, un contraste infini et des noirs abyssaux. Oui, la dalle réfléchit un peu plus qu’un miroir de salle de bain (attention au contre-jour pour ne pas transformer l’écran en selfie géant), mais ça se dompte avec des rideaux. Pour la réactivité et la fluidité, c’est du caviar pour eSport ou triple-A, même sans la plus grosse carte graphique du marché. Grosse cerise sur le gâteau : la protection burn-in, avec un petit nettoyage automatique des pixels, et la garantie 3 ans Burn-in incluse : « Pour une fois que laisser une trace n’est pas un drame… »

Faut-il craquer ? Sauf si vous rêvez d’un écran de 32 pouces pour impressionner la galerie, l’Alienware AW2725Q enterre la concurrence à prix (presque) raisonnable. Un écran qui ne fait pas que sublimer les jeux, mais aussi les feuilles de calcul et Photoshop, c’est presque de la triche ! Bref, dire qu’il n’a que peu de défauts, c’est être mauvaise langue (il aurait pu charger un laptop plus vite, mais bon… c’est pas une borne Tesla non plus).

En conclusion : Si ce n’est pas encore l’écran parfait pour tout le monde, c’est clairement celui qui met la barre très haut sans allumer la carte bleue autant que les pixels. Et il est fort possible que, lors du prochain test d’écran, celle-ci fasse grise mine à côté de ce champion… Ah, le progrès, c’est OLED-vation !

Source : Engadget

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