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Credits image : Elena Mozhvilo / Unsplash

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Quand les pommes tombent chez Alibaba : aux data les dégâts !

« Pourquoi demander à une IA de me rappeler le prénom du gars en marketing, alors que je ne me souviens même pas du code de ma boîte aux lettres ? » Bon, trêve de philosophie de bureau : cette semaine, le monde tech a eu droit à un nouveau feuilleton façon thriller sino-américain (avec moins de kung-fu et plus d’onglets Excel). Accrochez bien vos ceintures de sécurité, on part à la découverte du dernier épisode : “Apple et Alibaba font copain-copain…mais pas trop vite !”.

Alors que vous étiez peut-être occupé à cliquer frénétiquement sur “plus tard” pour la mise à jour iOS, Apple et Alibaba étaient occupés à négocier un deal qui pourrait bien changer votre expérience iPhone… du moins, si vous vivez en Chine. L’idée ? Permettre à Alibaba de propulser les fonctions d’intelligence artificielle des iPhones vendus dans l’Empire du Milieu. Mais attention, rien n’est jamais simple dans le monde de la tech internationale : la Maison Blanche et le Congrès américain ont très vite sorti la loupe (et un peu la lampe torche) pour examiner cette alliance à la lumière de la relation très changeante entre la Chine et les USA.

Selon nos cousins du New York Times, Apple s’est retrouvé sur le grill : de hauts responsables américains demandant (devant une salle probablement pleine de PowerPoints) : “Alors, à quel point vous partagez nos précieuses données avec Alibaba ? Vous avez négocié un petit quelque chose avec les autorités chinoises, ou c’est open bar ?” Petit hic : les dirigeants d’Apple ont visiblement eu plus de mal à répondre que lors d’un quizz sur l’histoire du Mac.

Parfois, quand les géants se serrent la main, ce sont les utilisateurs qui risquent d’avoir les doigts coincés dans la porte.

Là où les choses se corsent, c’est que côté Alibaba, on a crié sur tous les toits “Eh oui, on bosse avec Apple !”, tandis que du côté californien, c’est motus et bouche cousue. Ce silence ne rassure évidemment pas tout le monde, à commencer par le représentant Raja Krishnamoorthi, qui a qualifié Alibaba de “poster child” (aka l’enfant star) du développement techno-stratégique chinois. Pour lui, ce manque de transparence donne des sueurs froides… et probablement quelques réunions supplémentaires.

Alors, pourquoi cette histoire fait autant de bruit que votre groupe WhatsApp familial le dimanche matin ? Parce qu’au-delà des sujets d’IA et de design épuré, les affaires Apple en Chine sont déjà chahutées par la guerre commerciale : les droits de douane qui changent plus souvent que votre fond d’écran, les stress tests politiques et, désormais, une petite dose de paranoïa sur les échanges de données.

En résumé, derrière les gadgets glamour et les jolis logos, le business de la tech internationale, c’est un peu comme une partie de poker où personne ne vous dit s’il bluffe – sauf que cette fois-ci, ce sont les gouvernements qui tiennent les jetons. Alors, la prochaine fois que Siri ne comprend rien à votre question, dites-vous qu’elle aussi, elle doit en voir de toutes les couleurs au sommet du G20 algorithmique !

Allez, pour conclure : quand la pomme partage sa tarte avec Alibaba, tout le monde veut la recette… mais gare à l’addition !

Source : Techcrunch

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