person using laptop computer holding card

Credits image : rupixen / Unsplash

BlockchainCryptoIntelligence ArtificielleTechnologie
0

Monzo, du fluo à la maturité : une banque qui envoie du néon !

« Le banquier du futur ne portera peut-être plus de costume, mais il portera sûrement du fluo ! » Voilà qui résume bien la trajectoire de Monzo, la super star britannique des banques digitales. Longtemps vu comme le club branché des Millennials fans d’emojis et de cartes flashy, Monzo se rêve aujourd’hui en étoile montante de la finance sérieuse… sans perdre sa touche d’humour !

Derrière les néons et les smileys se cache une réalité bien plus stratégique. Après avoir vécu l’âge d’or des start-up fintech (comprenez : la fête, les pizzas froides… et quelques sueurs réglementaires), Monzo s’affiche en banquier responsable. Son CEO TS Anil se fait discret sur la rumeur d’une entrée en Bourse imminente, mais note que la maison a désormais les fondations pour : des bénéfices, une panoplie de nouveaux produits et une pincée bien dosée d’IA – histoire de rester dans le game.

Le Monzo nouveau ne se contente plus de vivoter grâce aux frais de retraits à l’étranger et aux découverts. Aujourd’hui, ce sont les prêts, les abonnements et la banque pro qui remplissent la cagnotte. Avec 9,3 millions de clients particuliers et 400 000 entreprises dans la besace, la banque de poche a bien grandi. Pas mal pour une institution qui, il n’y a pas si longtemps, jonglait entre remous internes et remontrances des régulateurs !

Quand la banque du futur commence à ressembler à la banque du présent, mieux vaut garder un brin d’ironie… et ses lunettes de soleil !

Mais Monzo ne veut surtout pas devenir « has been » ! Garder la hype, c’est le mot d’ordre d’Anil, qui continue de miser sur le rose fluo mais aussi sur la discipline : offres d’investissements siglées BlackRock, suivi des prêts immobiliers d’autres banques, sans oublier l’expansion transatlantique – même si, avouons-le, la réputation de Monzo chez l’Oncle Sam, pour l’instant, c’est un peu « Mon-qui ? ».

Loin de paniquer face à ce manque d’aura américaine, le CEO préfère draguer les Britanniques : un adulte sur cinq outre-Manche se laisse déjà tenter par la carte vitaminée. Pourquoi courir après les cow-boys de la finance quand on peut conquérir Paddington avant Wall Street ? Rappelons tout de même que 300 000 nouveaux clients auraient rejoint le club rien qu’en avril.

Mais l’avenir, c’est l’IA, non ? Pas d’inquiétude selon Anil, qui promet que Monzo ne tombera pas dans la naphtaline technologique. Pour lui, pas question de devenir un « legacy player » – l’équivalent bancaire du walkman poussiéreux. La recette anti-ringardise : curiosité et adoption permanente des dernières innovations. D’ailleurs, l’IA chez Monzo, ce n’est pas qu’un effet de style, c’est du concret, du calibré et ça fait flasher la concurrence.

Quant à l’introduction en Bourse ? « Ne croyez pas tout ce que vous lisez ! » glisse le patron malicieux. Monzo attend le bon moment, au bon endroit, avec les bonnes personnes (et on espère, le bon GIF). En attendant, la fête continue et la néo-banque continue d’inventer ses propres codes. Qui sait, le prochain produit Monzo sera peut-être une solution pour accorder vos œillères anti-bulles ?

Pour les curieux, la discussion complète – du marketing à la tech en passant par le design – se savoure ci-dessous. Banco sur Monzo ? Après tout, dans la finance, il ne faut jamais mettre tous ses fluo dans le même panier !

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.