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Credits image : Zack Yeo / Unsplash

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L’Argile à modeler les milliards : Clay la joue fine dans la vente automatisée

« La seule chose qui se vend plus vite que du pain, c’est une bonne idée chez les startups ! » Sur la planète tech où les licornes naissent plus vite que les croissants ne dorent, voici que Clay, la star montante de l’automatisation des ventes, vient de faire un joli tour de piste financier : une levée de fonds Serie C, emmenée par CapitalG, avec une valorisation qui touche les étoiles… ou du moins, frôle les 3 milliards de dollars. L’élite des investisseurs accourt, et même les très bavards du secteur restent muets comme des carpes – ni Clay, ni CapitalG n’ont voulu commenter. Un silence qui, pour les journalistes, vaut parfois toutes les déclarations.

Mais attendez, car le feuilleton ne s’arrête pas là ! Il y a tout juste un mois, Clay proposait à ses salariés de céder une partie de leurs actions, mais à une valeur bien moins épicée : 1,5 milliard de dollars. Cette transaction « secondaire », orchestrée par le cador Sequoia, a permis aux employés de vendre jusqu’à 20 millions de dollars de titres. De quoi s’acheter quelques tablettes de chocolat… Ou une Tesla flambant neuve !

Certains se diront que ces salariés ont vendu trop tôt, ratant ainsi le doublement de la mise ? Pas si vite ! Le patron et co-fondateur, Kareem Amin, leur promet déjà de nouveaux tours de piste chaque année avec de nouveaux rachats d’actions. Avis aux impatients : dans la Silicon Valley, tout vient à qui sait attendre (ou lever des fonds…).

Dans l’univers impitoyable des startups, la patience peut rapporter gros… ou au moins un nouveau tour de table !

C’est en 2017 que Clay a posé sa première brique. Mais c’est seulement il y a quelques années que la vraie métamorphose a eu lieu. Découvrant que vendre de l’argile n’était pas le bon filon, Amin et sa bande ont misé sur l’IA pour doper les commerciaux et marketeurs en quête du client parfait. Leur crédo : aider à dénicher, trier et séduire la bonne cible avec des campagnes automatisées et personnalisées. Un peu comme Cupidon, mais version cloud et sans flèches (ou alors, des flèches en HTML).

Aujourd’hui, Clay fait fureur chez des géants comme OpenAI, HubSpot et Canva, mais aussi chez plus de 100 agences de conseil qui utilisent la solution pour « gonfler » la prospection de leurs clients. En somme, que vous soyez une start-up rêveuse ou un mammouth du marché, Clay a de quoi éveiller votre curiosité… et vider votre carnet de chèques.

La concurrence ? On pourrait croire que le marché de l’automatisation commerciale ne connaît que Clay, mais c’est oublier des acteurs bouillonnants comme ZoomInfo, Lusha, Apollo.io ou encore des nouveaux venus à cravate flashy tels que Unify et Common Room. Autant dire que pour dominer ce marché, il faudra un peu plus qu’un PowerPoint joli et une poignée de bots bien dressés.

Derrière Clay, de grands noms veillent au grain, à commencer par Sequoia bien sûr, ainsi que Meritech Capital, Boldstart Ventures, Maple VC, First Round Capital, et Box Group. Bref, un conseil d’administration qui ressemble plus à une table de poker entre millionnaires qu’à une réunion de copropriétaires.

Conclusion : dans le monde effervescent des startups sales-tech, Clay façonne son destin à coups de millions, mais sait aussi que, parfois, le meilleur deal… c’est celui du prochain tour. Allez, un peu d’humour pour la route : chez Clay, on vend de l’automatisation, mais jamais du vent !

Source : Techcrunch

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