« L’intelligence artificielle au cinéma, c’est un peu comme les lunettes 3D : on en parle beaucoup, mais personne n’ose s’asseoir trop près de l’écran. »
Oyez, geeks et cinéphiles en quête d’effets spéciaux venus d’ailleurs ! La grand-messe du futur de la tech revient à San Francisco : TechCrunch Disrupt 2025 s’installe au Moscone West du 27 au 29 octobre. Au menu : plus de 10 000 créateurs de startups et gourous du capital-risque prêts à débusquer la prochaine révolution. Et sur la scène de l’IA, pas question de se contenter de codes et d’algorithmes : ici, on parle aussi d’art, de cinéma… et de casser les frontières du réel. C’est là qu’intervient Nikola Todorovic, scénariste du code et artiste du pixel.
Nikola Todorovic, c’est le genre de gars qui a d’abord joué avec les images avant de taquiner les neurones artificiels. Après des années à jongler avec les explosions dans les blockbusters, il fonde Wonder Dynamics (toute nouvelle filiale d’Autodesk, le géant du logiciel pro), avec son compère Tye Sheridan (oui, celui qui survit jusqu’à la fin du film). Leur bébé technologique ? Autodesk Flow Studio (ex-Wonder Studio) : une plateforme dopée à l’IA pour intégrer des personnages 3D dans des scènes réelles, le tout sans avoir besoin d’une armée de graphistes surexcités sous caféine. Lumière, animation, composition : tout est orchestré dans le cloud – les artistes n’ont qu’à demander et magie, c’est dans la boîte.
Fusionner IA et créativité : un film où les artistes restent les héros et la technologie la doublure lumière.
Mais l’histoire ne serait pas hollywoodienne sans son petit twist : le but de Todorovic, ce n’est pas de remplacer les artistes par des robots tout droit sortis de Matrix, mais bien de leur donner les super-pouvoirs de demain. L’acquisition triomphale par Autodesk en 2024, c’est un peu l’Oscar du meilleur espoir créatif : la preuve que même au pays de la tech, l’art n’a pas fini de faire danser les zéros et les uns. Aujourd’hui, Nikola prend la plume (ou le clavier) au sein du plus vaste écosystème logiciel du cinéma, histoire de continuer à offrir aux créateurs – petits ou grands – un ticket pour la magie des effets spéciaux.
Si vous pensiez que Disrupt, c’était juste des pitchs de startups et des tablettes volantes, détrompez-vous : Nikola Todorovic s’invite sur la scène IA pour discuter avec d’autres pointures du secteur. Au programme ? Génération d’images, éthique, nouveaux outils pour les créateurs… Retrouvez toutes les nouveautés sur l’agenda Disrupt et préparez-vous : ici, pas de jargon gratuit mais des discussions pour comprendre comment l’IA va, concrètement, transformer l’industrie des médias (et vos prochaines soirées Netflix).
Alors, envie d’assister à la fusion (presque nucléaire) de l’IA et de la création ? Rendez-vous à Disrupt 2025, pour écouter Nikola et ses acolytes réinventer le septième art à grands coups de machine learning. Bloquez vos places, sortez le popcorn : à ce tarif, vous risquez de repartir avec beaucoup plus qu’un simple GIF animé (et même de faire de sacrées économies dernière minute) !
La leçon du jour : avec l’IA, plus besoin de baguette magique pour faire de grands films, juste d’un bon cloud et d’un soupçon d’imagination. Et qui sait, bientôt, même vos vidéos de vacances auront l’air de sortir… tout droit de la Silicon Valley. Le miracle du cinéma augmenté, ça donne envie de crier : “Action, réaction… intelligence !”
Source : Techcrunch