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Credits image : Rock Staar / Unsplash

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TikTok, tac, toc : Qui frappe à la porte du rachat ?

« Un accord TikTok ? C’est un peu comme essayer de faire danser le panda et l’aigle sur le même rythme : tout le monde regarde, mais personne ne sait vraiment qui va mener la danse ! »

Alors, que s’est-il passé dans le grand bal géopolitique du numérique ? Selon notre ami Scott Bessent, secrétaire au Trésor américain (oui, celui qui regarde les dollars danser), les États-Unis et la Chine viennent de poser les jalons – ou au moins le parquet – d’un accord cadre pour TikTok. Ces négociations folles entre les deux puissances portent sur l’application préférée des ados, mais surtout sur la paix de leurs parents qui n’en peuvent plus d’entendre « Watch this ! » toutes les deux minutes.

Mais qui tire réellement les ficelles de cette affaire ? Selon CNBC, « les termes commerciaux entre les parties privées sont désormais ficelés comme un wrap au saumon à l’heure du brunch. » Autrement dit, on attend plus que la sauce secrète : le nom de l’heureux élu qui reprendra les clés du château TikTok.

Tout ce vacarme autour de TikTok montre qu’en politique comme sur les réseaux, rien n’est jamais entièrement supprimé… sauf peut-être les vidéos gênantes du lycée.

Le suspense était à son comble : à peine une heure après les premières rumeurs, Donald Trump, notre showman préféré, a confirmé la nouvelle sur Truth Social. « Un accord pour une entreprise que les jeunes veulent absolument sauver », a-t-il lancé, avant de promettre une conversation directe avec Xi Jinping – espérons qu’ils parleront aussi de leurs playlists TikTok.

Mais attention, tout n’est pas réglé : il ne s’agit que d’un framework, une sorte de filament sur lequel on espère voir germer l’accord définitif… et pas un truc qui s’effiloche au lavage. Et bien sûr, tout s’accélère à quelques jours de la nouvelle deadline du ban de TikTok aux USA, fixée le 17 septembre. Oui, oui, encore un ultimatum, car bannir TikTok est devenu presque une mode saisonnière outre-Atlantique.

Petite histoire dans la grande Histoire : TikTok avait déjà été banni en janvier après une loi signée par Joe Biden, mais comme un épisode de « Dallas » qu’on ne veut pas finir, Trump a signé des ordonnances pour redonner de l’espoir aux accros du scroll. On attend donc de voir qui va s’offrir TikTok – et si, dans un plot twist à la Netflix, les négociations ne tourneront pas au karaoké international.

Allez, un dernier scroll pour la route : tant que TikTok ne finit pas aux oubliettes, on peut dire que ce réseau a définitivement le « swag de l’immortalité digitale »… Mais attention, accorder TikTok, ce n’est pas toujours avoir la bonne note !

Source : Techcrunch

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