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Credits image : Luísa Schetinger / Unsplash

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Taxi Driverless : La voie ferrée vers l’autonomie… sans ticket retour !

« Si un robot peut faire mon taxi, pense-t-il aussi à mon allergie aux discussions météo ? »

Dans la catégorie des alliances un peu folles (et farfelues), voici le duo choc : Wayve, startup britannique – à ne pas confondre avec la marque de machines à laver – et Uber, champion mondial du covoiturage improvisé, qui annoncent un projet d’envergure : la conquête des rues londoniennes par les robotaxis, sans volant humain à l’horizon ! Après tout, qui n’a jamais rêvé de se faire trimballer à travers Londres par une voiture qui n’engueule jamais les embouteillages ?

Pourquoi cet accélérateur soudain ? Merci au gouvernement britannique, qui a décidé de mettre les bouchées doubles pour permettre aux véhicules autonomes de débarquer dès 2026, au lieu de griller le feu (légalement) en 2027. La ministre Heidi Alexander l’a affirmé : priorité à la robotisation, surtout si ça attire des investisseurs et du buzz. Pas étonnant, donc, que Wayve et Uber saisissent la balle au bond pour teaser leur « robotaxi show » version british.

Les taxis de Londres vont peut-être bientôt perdre leur accent… Mais ils garderont toujours le sens de la circulation à gauche !

Le suspense est à son comble : ni chronologie précise, ni nombre de voitures en vue, ni même choix de la marque qui motorisera la flotte (même si un petit oiseau – on l’appellera Nissan – a été cité dans l’équation). Mais place à l’ambition : le premier tour de roue partira de Londres avant une extension plus large, pourvu que les organismes de réglementation britanniques donnent leur feu vert à chaque étape, sécurité oblige. Chaque acteur (Wayve, Uber, fabricant et opérateur de flotte) devra prouver qu’il est plus fiable… qu’un GPS après minuit !

Côté technique, Wayve continue de parader avec ses démonstrations, affichant fièrement ses déplacements dans 90 villes ces 90 derniers jours, dans le cadre de son roadshow « AI-500 » – le tout avec une seule et même IA. Objectif ? Montrer au monde que leur technologie s’adapte comme un parapluie à la météo britannique, sans avoir besoin de cartographier chaque ruelle à l’avance. Bluffant, mais vraie question : l’IA saura-t-elle éviter les cyclistes kamikazes et les pubs bondés un soir de match ?

Uber, quant à lui, ne pouvait rêver meilleure partenaire. Sa stratégie ? Multiplier les alliances avec des experts de l’autonomie (Wayve, WeRide… la liste s’allonge plus vite qu’un ticket de caisse chez Primark), histoire d’avoir, demain, une flotte capable de vous transporter à travers les cinq continents, sans jamais demander de pourboire. C’est dire la taille de l’ambition derrière ce projet, même si, pour l’instant, le pari ressemble encore à un Rubik’s Cube à résoudre…

Conclusion : Londres va-t-elle devenir la première ville d’Europe à voir ses taxis troquer chapeau melon contre circuits imprimés ? Si Wayve et Uber arrivent à prouver que leurs algorithmes ont le sens de l’humour britannique… alors toute la course est encore ouverte !

Après tout, dans la grande famille des taxis, il n’y a qu’un pas du « black cab » au « full tech »… Reste à savoir si l’IA trouvera la sortie du fameux rond-point de Marble Arch sans tourner en rond !

Source : Techcrunch

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