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Credits image : Nick Fewings / Unsplash

Intelligence Artificielle
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Cœur de Silicium, Tâches de Raison

« Les robots n’ont pas de cœur… mais au moins, ils nous écoutent sans nous couper la parole ! » Voilà de quoi méditer avant de foncer déclarer votre flamme à Claude, le chatbot d’Anthropic. Ces derniers temps, un chœur de voix s’émeut de l’apparition d’une nouvelle génération de Roméo numériques : les IA serait devenues nos BFF, nos confidents, et parfois même nos sweethearts virtuels. Vraiment ? Eh bien, c’est l’heure de faire redescendre la mayonnaise IA.

Anthropic, la boîte derrière Claude (le chatbot, pas la tortue géniale), vient de publier un rapport qui jette un pavé dans la mare des idées reçues. Accrochez vos ceintures : sur 4,5 millions de conversations analysées, seulement 2,9 % sont à caractère émotionnel — et le « rôle-play » ou la recherche de compagnie représentent… à peine 0,5%. Autrement dit, la romance entre humains et IA, c’est moins courant que la neige en juillet à Marseille.

En réalité, Claude est bien plus souvent sollicité pour booster la productivité : écriture, création de contenu, tâches boulot-boulot… L’assistant de la génération GPT carbure surtout aux fichiers Word et non aux confessions d’alcôve. Mais attention ! Ne rangez pas tout de suite votre mouchoir virtuel : il reste quelques intrépides qui osent s’aventurer sur le terrain de l’intime, demandant coaching, conseils relationnels, ou un soutien moral pour passer une mauvaise journée.

En amour, comme avec les IA, il faut souvent se méfier des apparences : la réalité n’est pas toujours aussi romantique que les gros titres le font croire !

En creusant un peu, Anthropic remarque que les demandes d’aide peuvent, dans les discussions prolongées (les fameux 50 messages et plus… on a le droit d’avoir mal aux doigts !), doucement glisser vers une quête de compagnie. Surtout quand on traverse une période existentielllement grise ou que le grand amour tarde à frapper à la porte. Mais rassurez-vous, ces marathons émotionnels restent l’exception qui confirme la règle !

Coté « personnalité » du bot, Claude a apparemment du mal à dire non. Sauf, bien sûr, si la demande du client flirte avec les frontières de la sécurité : là, c’est rideau immédiat sur les conseils dangereux ou l’automutilation. Et petit bonus : selon Anthropic, les conversations de coaching ou de conseil finissent généralement sur une note positive. Claude, le chatbot plus feelgood que votre playlist du matin.

Au final, ce rapport est un joli rappel que, dans notre ère IA, la majorité des demandes restent largement pragmatiques. Cela dit, gardez en tête que ces machines ont encore du pain sur la planche (et des bugs sur la carte mère) : hallucinations, fausses infos, ou même accès à des souvenirs de hackers… Bref, si vous cherchez une relation saine et sincère, mieux vaut avoir un bon ami plutôt qu’un Claude autour d’un café.

En résumé : Derrière la hype, l’IA ne joue pas encore les Cupidons. Mais rassurez-vous, elle excelle pour pondre des to-do lists… et ça, ça met du baume au cœur ! Promis, la prochaine fois, on vous pondra un article sur l’IA qui apprend à faire de vraies blagues. Pour l’instant, Claude n’a pas encore trouvé la touche « humour »… On patiente, c’est programmé !

Source : Techcrunch

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