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Credits image : Merakist / Unsplash

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Quand les robots bossent, Bernie rêve qu’on se repose !

« J’ai une IA qui fait tout mon boulot, mais bizarrement, mon café ne se fait pas tout seul… » Vous l’aurez compris, la techno promet monts et merveilles pour notre productivité, mais côté pause (et pas juste café), c’est une autre histoire ! Bernie Sanders, le sénateur rock’n roll du Vermont, a décidé de titiller la Silicon Valley sur ce sujet brûlant : Si l’IA nous libère du temps, pourquoi ne serions-nous pas, nous aussi, libérés… du boulot ?

Invité chez le podcasteur préféré des amateurs de discussions sans fin, Joe Rogan, Sanders n’a pas mis de gants : stop à la productivité qui ne profite qu’aux actionnaires ! Face à un monde qui rêve de bosser moins pour vivre plus (ou au moins, regarder un match de foot de ses enfants), Bernie milite pour une redistribution très concrète des bénéfices de l’IA. Fini le mythe du « bosse plus pour gagner pareil », il propose : « Pourquoi ne pas passer à la semaine de 32 heures si l’IA vous aide tant à aller plus vite ? »

Si cette idée fait dresser les cheveux sur la tête des patrons de Davos, elle fait saliver tout employé qui a déjà répondu à un email à 23h. Imaginez : finir votre travail plus vite, sans perte de salaire, et peut-être, ose-t-on rêver… avoir une vraie vie ? Loin de la révolution marxiste, Sanders précise que ce n’est pas une idée sortie des années 70 : dans de nombreux pays, des entreprises l’ont déjà essayée !

Et si la révolution technologique n’était, finalement, que l’occasion de remettre les pendules à l’heure… de sortie ?

C’est le cas notamment au Royaume-Uni où 61 entreprises ont testé la semaine de quatre jours en 2022. Résultat ? Le chiffre d’affaires a quasiment stagné, en fait il a même légèrement augmenté de 1,4 %. KickStarter l’a adopté en 2021, et Microsoft Japon l’avait déjà tenté en 2019 avec un bonus presque magique : une hausse de productivité de 40 %. Qui a dit qu’on ne pouvait pas « tout avoir » ?

La leçon, c’est que l’IA peut être notre meilleur allié — à condition qu’elle ne serve pas simplement à déclencher une vague de licenciements ou à remplir encore plus de PowerPoints inutiles. Sanders enfonce le clou : « Utilisons la technologie pour améliorer la vie des travailleurs : plus de temps pour la famille, les amis, ou tout ce qui vous chante ». En gros, si l’IA file un coup de main au boulot, ce serait bien qu’elle nous lâche un peu la grappe après !

Alors, amis de la productivité et du BDE (Bureau Des Évasions), rêvons ensemble d’un monde où l’IA serait notre collègue sympa plutôt que le boss tyrannique, et où le plus grand progrès, ce ne serait pas la taille du serveur, mais la taille de notre temps libre. Et puis, avouons-le, si on avait tous une semaine de 4 jours, on aurait enfin le temps de comprendre comment fonctionne… la blockchain.

Avec cette histoire, on se dit que parfois, le progrès, c’est juste d’avoir plus de temps pour procrastiner intelligemment. IA ou pas, j’espère que votre week-end sera aussi innovant que reposant. Et souvenez-vous : avec l’IA, le vrai bug serait de perdre votre vie à la coder…

Source : Techcrunch

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