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Credits image : Nicholas Doherty / Unsplash

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Meta-morphose Énergétique : Un Like Sous le Soleil, S’il Vous Plaît !

“Sauvez la planète, un like à la fois !” pourrait être le credo officieux de Meta ces dernières années. Alors que d’autres entreprises récoltent des badges pour la présence en ligne, Meta semble viser la médaille d’or dans la catégorie « plus verte que mes épinards bios ».

Cette semaine, l’empire du pouce bleu a transformé la veille énergétique en offensive de choc pour les énergies renouvelables. Au menu : un combo solaire-vent en trois services, pour un total colossal d’un gigawatt tout rond. Plus précisément, Meta s’est offert 791 mégawatts de soleil et de vent à emporter (Arkansas, Ohio, Texas, livraison par Invenergy) et 360 mégawatts tout solaires d’Adapture Renewables au Texas… assez pour éclairer chaque TikTokeur la nuit !

Mais attention, les paillettes renouvelables ne s’arrêtent pas là. Ces projets, prêts à briller en 2027-2028, s’ajoutent à la fiche de paie verte déjà longue de Meta. Auparavant, le groupe a déjà signé pour 650 mégawatts solaires avec AES et lancé un projet géothermique de 150 mégawatts au Nouveau-Mexique. Oui, la Big Tech n’achète pas que des start-ups ou des casques de réalité virtuelle… elle achète aussi du soleil et de la vapeur d’eau chaude !

Meta transforme chaque « like » en lumière verte, même quand l’avenir des subventions s’assombrit.

Ce raz-de-marée d’investissements tombe à pic : alors que certaines subventions pour les ENR se retrouvent sous l’épée de Damoclès dans les couloirs du Congrès américain, Meta prend le contre-pied et fonce tête baissée. Preuve que dans la tech, le timing est tout : mieux vaut acheter du soleil avant qu’il ne soit surtaxé… ou privatisé par Elon Musk !

Côté technique, l’énergie solaire fait figure de championne : il suffit d’environ 18 mois pour sortir une centrale solaire flambant neuve du néant — et parfois, quelques rayons électriques débarquent même plus vite que prévu. Pour ces entreprises affamées d’électrons, c’est beaucoup plus rapide qu’une partie de Candy Crush… ou la signature d’un traité international sur le climat !

Derrière l’enthousiasme greenwashing (pardon, greenwishing !) de la Silicon Valley, il se cache cependant une vraie course à la puissance, nourrie par les data centers et surtout, par les exigences insatiables de l’intelligence artificielle. Entre la hausse des besoins et la baisse possible des aides gouvernementales, l’équation écolo n’est pas si simple… mais au moins, ça fait tourner l’économie du panneau solaire.

Alors, Meta va-t-il sauver la planète ou juste soigner son image de marque sur fond de coucher de soleil ? L’histoire ne le dit pas encore. Mais une chose est sûre : dans la guerre des réseaux, mieux vaut voir la vie en vert… que de finir complètement à l’ombre !

Source : Techcrunch

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